Last week, following the witness statements of his daughter and the daughter of a former employer, Michel Fourniret had promised that he would begin to speak in court and explain the facts for the victims' families. The hearing resumed on Wednesday.
14 mai 2008
Le parquet de Dinant dément l'ouverture d'une enquête sur Fourniret. Le parquet de Dinant a tenu à démentir, mercredi, l'information selon laquelle il aurait ouvert une enquête préliminaire concernant d'éventuels liens entre Fourniret et le décès d'un couple de personnes âgées d'Honnay (Beauraing) en 2000. Pour le procureur du Roi de Dinant, Bernard Appart, rien dans le papyrus, remis par le tueur en série le premier jour de son procès au président de la cour d'assises de Charleville-Mézières, ne permet d'effectuer un lien avec la mort de ces personnes âgées comme semble l'indiquer le journal Le Soir de ce mercredi. "Juste Michel Fourniret parle-t-il explicitement, dans ce papyrus que nous ont transmis les autorités judiciaires françaises, d'une tentative d'homicide sur la personne d'un professionnel de la santé", précise Bernard Appart. "Volet sur lequel Michel Fourniret pourrait être entendu par les enquêteurs dinantais. Le cas échéant, ce serait à la fin de son procès en cours". Pour rappel, les enquêteurs dinantais sont toujours saisis du volet "disparition des jeunes filles au pair". Volet sur lequel divers devoirs d'enquête ont déjà été menés sans pouvoir pour l'instant incriminer à Michel Fourniret le moindre des agissements que lui prêtait Monique Olivier.
Dinant's prosecutor denies the opening of an investigation on Fourniret. On Wednesday, Dinant's prosecutor stood to deny the information according to which he had opened a preliminary investigation concerning the current links between Fourniret and a couple of older people in Honnay (Beuraing) in 2000. For Dinant's prosecutor, Bernard Appart, nothing in the paper, submitted by the alleged serial killer on the first day of his trial to the president of the Charleville-Mézières court of assizes, made any link with the death of these older people as the journal Le Soir seems to indicate this Wednesday. "Certainly, Fourniret speaks explicitly, in the paper we sent to the French legal authorities, of an attempted murder on the person of a health care professional, "states Bernard Appart. "a line of enquiry on which Fourniret could be heard by the Dinants investigators. Where appropriate this would be after the trail in progress." As a reminder, the Dinants investigators are still following the line of enquiry on the, "disappearance of some young au pair girls.." A line of enquiry on which various actions in the investigation have been made without, for the moment, incriminating Michel Fourniret in the least with the actions which Monique Olivier attributes to him.
Le tueur en série présumé Michel Fourniret a reconnu à son procès avoir trahi son ancien compagnon de cellule Jean-Pierre Hellegouarch en tuant son épouse, Farida Hammiche, en 1988, pour s'approprier le butin d'un célèbre gang de l'époque, les Postiches. "Jean-Pierre Hellegouarch est quelqu'un que j'ai trahi, dont j'ai trahi la confiance", a dit l'accusé à la cour d'assises des Ardennes, qui le juge depuis le 27 mars pour sept meurtres de jeunes femmes entre 1987 et 2001. Jean-Pierre Hellegouarch et Michel Fourniret se sont rencontrés en 1984 à la prison de Fleury-Mérogis. Le futur tueur en série était écroué pour des agressions sexuelles, ce qu'il dissimulait à ses codétenus. Son voisin de cellule était accusé d'être un "braqueur" de banques, trafiquant d'armes et de drogues. Jean-Pierre Hellegouarch, 65 ans, extrait de sa prison pour venir déposer comme témoin, a expliqué à la barre qu'il ne s'était pas méfié. "Fourniret m'apparaissait comme quelqu'un d'inoffensif", a-t-il dit. Fourniret, libéré en premier, multiplie les visites à Farida Hammiche, épouse de Hellegouarch. En 1988, Jean-Pierre Hellegouarch confie à la jeune femme l'existence d'un butin, enterré dans un cimetière du Val-d'Oise. Il pense à Fourniret et "ses mains de jardinier" pour récupérer l'argent.
The alleged serial killer Michel Fourniret admitted at his trial that he betrayed hi former cell-mate Jean-Pierre Hellegouarch by killing his wife, Farida Hamiche, in 1988, in order to appropriate the booty of a famous gang of the time, the Postiches. "Jean-Pierre Hellegouarch is someone whom I betrayed, whose trust I betrayed," the accused said at the Ardennes court of assizes, where he is on trial since March 27th for seven murders of young women between 1987 and 2001. Jean-Pierre Hellegouarch and Michel Fourniret met in 1984 in the Fleury-Mérogis prison. The future serial killer was imprisoned for sexual assaults, which he hid from his fellow detainees. His cell-mate was accused of being a bank, "robber," trafficking in arms and drugs. Jean-Pierre Hellegouarch, aged 65, brought from prison to give evidence as a witness, explained at the bar that he was not suspicious. "To me, Fourniret seemed like an inoffensive person," he said. Fourniret, freed first, made many visits to Farida Hammiche, Hellegouarch's wife. In 1988, Jean-Pierre Hellegouarch confided to the young woman the existence of a booty, buried in a Val-d'Oise cemetary. He thinks of Fourniret and, "his gardener's hands," to recover the money.
TRÉSOR ENTERRÉ Farida Hammiche et Michel Fourniret déterrent le trésor, des lingots et pièces d'or provenant de "casses" du gang des Postiches, bandits ayant écumé les banques parisiennes de 1981 à 1986. Le couple Fourniret empoche une "commission". Mais Fourniret se ravise bientôt. Quelques semaines plus tard, en avril 1988, il tue Farida Hammiche à coups de baïonnette, l'enterre dans la forêt près de Clairefontaine (Yvelines) et empoche la quasi-totalité du magot. "Il avait reçu sa part mais m'a dit qu'il en voulait plus et que si Farida refusait, il irait la voir", a déclaré mercredi Monique Olivier, présente au moment de l'assassinat. Avec l'argent, le couple s'achète pour 1,2 millions de francs le manoir du Sautou dans les Ardennes, où seront enterrés les corps de deux autres victimes du tueur. Fourniret acquiert une nouvelle voiture, et joue double jeu, allant jusqu'à aider aux recherches de Farida Hammiche.
BURIED TREASURE
Farida Hammiche and Michel Fourniret dug up the treasure, bullion and gold coins coming from, "break-ins," by the Postiche gang, robbers who had plundered Paris banks from 1981 to 1986. The Fourniret couple pocketed a, "commission." But Fourniret soon changes his mind. A few weeks later, in april 1988, he kills Farida Hammiche with a bayonet, buries her in the forest near Clairefontaine (Yvelines) and pockets nearly all of the loot. "He had received his share but he told me that he wanted more and if Farida refused, he was going to see to her," Monique Olivier, present at the time of the killing, stated on Wednesday. With the money, the couple bought the Sautou manor for themselves for 1.2 million francs, where the bodies of two other victims of the killer would be buried. Fourniret acquires a new car and plays a double game, going as far as helping in the search for Farida Hammiche.
Ils ont poussé la duplicité jusqu'à venir me chercher à ma sortie de prison !", s'est indigné Jean-Pierre Hellegouarch. Le Breton retrouve 300.000 francs chez son épouse. Le couple Fourniret lui jure que Farida Hammiche est partie avec quelqu'un d'autre. Hellegouarch finit par suspecter les conjoints à qui il rend visite dans les Ardennes. "Ils vivaient comme des pauvres, ils habitaient une cabane de jardin. En y réfléchissant, c'était suspect, c'était trop", a-t-il dit. En 1990, au hasard d'un interrogatoire de police, il apprend des policiers l'existence du manoir du Sautou, s'y rend dans la foulée, croise Michel Fourniret en chemin, lui tire dessus, le rate, le prend en chasse, mais le perd. Il met en joue Monique Olivier "apeurée qui pleurniche", "son enfant accroché à sa jupe", la prend en pitié, l'épargne et lui laisse son numéro de téléphone.
"They even had the hypocrisy to come to look for me when I came out of prison!", Said Jean-Pierre Hellegouarch indignantly. The Breton found 300,000 francs at his wife's house. The Fourniret couple swear to him that Farida Hammiche went of with someone else. Hellegouarch ends up suspecting the spouses whom he is visiting in the Ardennes. "They were living like paupers. They were lving in a garden shed. Thinking about it, it was overdone." he said. In 1990, at the risk of a police interrogation, he learns from the police about the existence of the Sautou Manor, rushes there, meets Michel Fourniret on the way, shoots at him, fails, chases him, but loses him. He takes aim at Monique Olivier, "afraid and whimpering," "her child clinging to her skirt," takes pity on her, lets her go and leaves her his telephone number.
Si elle avait appelé, cela aurait été facile de clore le chapitre Fourniret", a dit le braqueur, laissant entendre qu'il aurait alors tué le criminel. Le couple Fourniret se cachera avec succès en Belgique. Le corps de Farida Hammiche n'a jamais été retrouvé. La justice a inexplicablement négligé de joindre cette affaire aux poursuites. Le dossier, qui semble aujourd'hui prescrit, n'est pas reproché au tueur et n'était examiné que dans le cadre de l'examen de sa personnalité. Même si Fourniret a proposé son aide à l'audience pour retrouver le corps, Hellegouarch s'est dit amer : "j'ai plus que de la rancoeur contre la justice, c'est comme si on dansait sur sa tombe. Plus que du gâchis, c'est une souillure".
"If she had called, it would have been easy to close the Fourniret chapter," said the robber, suggesting that he would have killed the criminal. The Fourniret couple hid successfully in Belgium. Farida Hammiche's body has never been found. The police have inexplicably neglected to add this case to the charges. The case, which now seems to have been archived, has not been charged to the killer and has only been looked at within the context of the examination of his personality. Even if Fourniret were to offer his assistance at the hearing for the recovery of the body, Hellegouarch wonders bitterly: "I have more than resentment against the police. It is as though they were dancing on her grave. More than a waste, it is a sin."
Fourniret insulte son épouse Monique.
Le coup de sang du principal accusé s'est produit alors que son épouse contestait fermement avoir porté des coups de baïonnette à Farida Hamiche, une jeune femme de 30 ans, qu'il avait tuée en 1988 en l'étranglant. «Je vous dis la vérité, je n'ai pas donné de coups de baïonnette à Farida», a répondu Monique Olivier à un avocat qu'il l'interrogeait. Egalement debout dans le box, Michel Fourniret s'est tourné vers elle : «C'est un mensonge flagrant Madame, un de plus !», a-t-il lancé. «Mais arrête tes conneries merde ! C'est pas vrai cette bonne femme !», a-t-il ajouté avant de lâcher à haute voix : «Connasse !».
Fourniret insults his wife Monique.
The angry outburst from the principal accused was produced when his wife firmly contested having taken the bayonet to Farida Hammiche, a young woman aged 30, whim he had killed in 1988 by strangling. "I am telling you the truth, I did not stab Farida with a bayonet," Monique Olivier replied to a lawyer who was questioning her. Also standing in the box, Michel Fourniret turned to her: "That is a flagrant lie Madame, one of the worst!." he threw. "But stop your shitty stupidity! It is not true old woman!", he added, before yelling: "Stupid bitch!"
Alors que le président Gilles Latapie l'invitait à se calmer, Michel Fourniret a prié la cour d'«accepter ses excuses». Le meurtre de Farida Hamiche, compagne d'un ex-codétenu de Fourniret, est un des huit homicides qu'il a reconnus après les dénonciations de Monique Olivier en 2004. Mais au procès du couple, il n'est évoqué que dans le cadre de l'examen de leur personnalité.
While Gilles Latapie, the president, suggested that he calm himself, Michel Fourniret requested that the court, "accept his apologies." The murder of Farida Hammiche, partner of an ex-cellmate of Forunriet's, is one of the eight murders which he admitted after the denounciations of Monique Olivier in 2004. But at the couple's trial, it has only been brought up within the context of the examination of their personality.
Fourniret promet son aide pour retrouver le corps d'une de ses victimes
Michel Fourniret s'est engagé à reprendre avec les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles les recherches visant à retrouver le corps de Farida Hamiche, une femme de 30 ans qu'il a avoué avoir tuée en 1988. Farida Hamiche, compagne d'un ancien codétenu de Fourniret dans les années 80, est une des huit jeunes femmes ou adolescentes que le tueur en série présumé a reconnu en 2004 avoir tué après les dénonciations de son épouse Monique Olivier. Mais ce crime sans cadavre - le corps, enterré dans une forêt des Yvelines, n'a jamais été retrouvé - n'est pas jugé au procès ouvert le 27 mars devant la cour d'assises des Ardennes, où Michel Fourniret doit répondre de sept meurtres aggravés et son épouse de complicité. L'affaire, qui fait toujours l'objet d'une enquête au tribunal de Versailles et dans laquelle Fourniret n'est pas poursuivi, a été abordée mercredi dans le cadre de l'examen de personnalité des accusés en présence de multiples témoins. Peu avant la déposition de Jean-Pierre Hellegouarch, compagnon de Farida Hamiche, une commissaire de la PJ de Versailles, Carole Pitolet, a demandé à Fourniret s'il était prêt à nouveau à guider les enquêteurs vers le lieu où il a enterré la jeune femme après l'avoir étranglée.
Fourniret promises to help find the body of one of his victims.
Michel Fourniret has pledged to resume, with the investigators, the search to recover the body of Farida Hammiche, a 30 year-old woam whom he confessed to killing in 1988. Farida Hammiche, partner of a former cellmate of Fourniret's in the 1980s, is one of the eight young women and teenagers whom the alleged serial killer admitted, in 2004, to having killed, after being denounced by his wife, Monique Olivier. This crime without a corpse - the body, buried in an Yvelines forest, has never been found - is not being tried in the trial which opened on March 27th before the Ardennes court of assizes, where Michel Fourniret must answer to seven aggravated murders and his wife to complicity. The case, which is still being investigated by the Versailles court and for which Fourniret is not being charged, was discussed on Wednesday in the context of the examination of the personality of the accused in the presence of many witnesses. Shortly before the deposition of Jean-Pierre Hellegouarch, Farida Hammiche's partner, Carole Pitolet, a commissioner of the Versailles PJ, asked Fourniret if he was now ready to lead the investigators to the place where he had buried the young woman after having strangled her.
"Je ne suis pas contre (le fait) de reprendre, avec la volonté d'aboutir, les recherches", a répondu l'accusé. "J'y suis décidé", a-t-il ensuite promis au président Gilles Latapie qui l'invitait à "faire un effort", alors qu'après ses aveux il avait déjà été interrogé par la PJ mais avait refusé de collaborer. Fourniret a dit avoir tué Farida Hamiche pour s'emparer de plusieurs dizaines de kg d'or qu'il venait de déterrer avec elle peu auparavant, sur les indications de M. Hellegouarch. Ce "trésor" caché provenait des braquages du gang des postiches démantelé dans les années 1980.
"I am not against resuming the searches, with a willingness to succeed," the accused responded. "I am decided on it," he then promised the president Gilles Latapie who was inviting him to, "make an effort," because during his confessions he had already been asked by the PJ but had refused to collaborate. Fourniret said he had killed Farida Hammiche to get hold of several dozen kilos of gold which he had just dug up with her shortly before, on the instructions of M. Hellegouarch. This hidden, "treasure," came from the break-ins of the Postiches gang, which was dismantled in the 1980s.
Wednesday, 14 May 2008
Enfants Kidnappés 14/05/08: Gerry and Kate place no conditions on their participation.
La reconstitution aura probablement lieu avant la fin du mois de mai.
Un des avocats portugais engagé dans la défense du couple McCann, Rogério Alves, a déclaré, aujourd'hui à Faro, avoir de "fortes indications" que la reconstitution du déroulement de la soirée durant laquelle Madeleine a disparu sera encore réalisée en mai. Nous vous le précision déjà dans un article précédent, la reconstitution semble être planifiée avant la fin de ce mois. L'avocat s'adressait aux journalistes en marge d'un séminaire à l'Université d'Algarve.
The reconstruction will probably take place before the end of May.
Today in Faro, Rogério Alves, one of the Portuguese lawyers involved in the McCann couple's defence, stated that there were, "strong indications," that the reconstruction of the unfolding of events of the evening during which Madeleine disappeared would still be carried out in May. We told you already in a previous article, the reconstruction seems to be planned for before the end of the month. The lawyer was addressing journalists on the sidelines of a seminar at the University of the Algarve.
Kate et Gerry McCann ont été déclarés "arguidos" dans l'enquête où cette mesure est emprunte de polémique. Rogério Alves a surpris en déclarant que le couple McCann n'a imposé aucune condition pour participer à la reconstitution. Cette affirmation prend à contre pied les déclarations du porte-parole des parents, Clarence Mitchell, qui a toujours soutenu que les parents ne participeraient à la reconstitution que si ils avaient des garanties et que leur statut de suspects - arguidos - était levé. L'avocat insiste en soulignant que les parents n'émettent qu'une seule réserve: celle de l'utilité de cette reconstitution. "Déjà, Kate et Gerry, ont manifesté leur intention d'être présent. Seulement la présence ou non des autres témoins ne dépend pas d'eux. Les parents sont sceptiques quant à l'utilité de cette reconstitution, un an après les faits. Il est peu probable que ce devoir d'enquête puisse permettre de savoir ce qui est arrivé à l'enfant" a rapporté l'avocat, en soulignant que parfois régnait une certaine "confusion" avec les manifestations publiques des parents.
Kate and Gerry were declared, "arguidos," in the investigation in which this measure has raised controversy. Rogério Alves surprised by stating that the McCann couple is imposing no conditions on participating in the reconstruction. This statement goes against those of the parents' spokesperson, Clarence Mitchell, who has always maintained that the parents would not participate in the reconstruction unless they had guarantees and their status as suspects - arguidos - was lifted. The lawyer insists, stressing that the couple have only one reservation: that of the usefulness of this reconstruction. "Kate and Gerry have already shown their intention to attend. Only the presence or not of the other witnesses does not depend on them. The parents are skeptical as to the usefulness of this reconstruction, a year after the events. It is unlikely that this exercise in the investigation could help to find out what happened to the child," the lawyer reported, stressing that sometimes some, "confusion," prevailed over the parents' public expression.
L'avocat commente la prorogation du secret de justice.
Incité par les journalistes à commenter la prorogation du secret de justice de trois mois, Rogério Alves, a affirmé que l'élargissement était prévisible. "L'élargissement du secret de justice pour trois mois est une réalité qui, à moi, me semble normal et tout à fait prévisible" a-t-il dit, en affirmant être en désaccord sur le fait que le délai commence à compter à partir de la réforme du Code de Procédure Criminelle. "C'est une interprétation avec laquelle je ne suis pas d'accord, mais à laquelle je me suis conformé" répète Rogério Alves, en ajoutant que le délai de justice aurait du commencer à être compter au mois de mai lors de la disparition. C'est la seconde fois que le délai du secret de justice, qui aurait du se terminer le 15 mai, soit demain, est prolongé. En janvier, déjà, le Ministère Public avait déclaré l'exceptionnelle complexité de l'affaire. L'avantage de soulever le secret de justice réside dans le fait que les parents sauront quelles recherches ont été faites et si la police est proche d'une solution. "Ce qui résulte du secret de justice est l'interdiction à l'accès du dossier et à la connaissance du contenu tel qu'un père et une mère aimeraient avoir afin de savoir ce que la police est en train de faire pour découvrir une chose fondamentale pour eux: ce qui est arrivé à leur fille" a conclu Rogério Alves.
The lawyer comments on the extension of the secrecy of justice.
Urged by the journalists to comment on the extension of the secrecy of justic for three months, Rogério Alves stated that the extension was predictable. "The extension of the secrecy of justice is a reality which, to me, seems normal and totally predictable," he said, stating that he disagrees with the fact that the extension is counted from the start of the reform of the Code of Criminal Procedure. "It is an interpretation with which I am not ok, but with which I have complied," Rogério Alves repeats, adding that the extension of justice should start to be counted from the month of May, the time of the disappearance. Tomorrow is the second time that the secrecy of justice, which should have ended on May 15th, is extended. In January, the Public Ministry had already declared the exceptional complexity of the case. The advantage of lifting the secrecy of justice resides in the fact that the parents would find out what searches had been done and if the police were close to a solution. "The result of the secrecy of justice is the banning of access to the file and knowledge of the details that any father and mother would like to have in order to find out what the police were in the process of doing to discover something fundamental to them: what had happened to their daughter," Rogério Alves concluded.
http://www.kidnapping.be/affairemaddie14m/index.html
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