Monday, 31 March 2008

Mari Luz: "Who should I ask why this happened?

"A qui dois-je demander pourquoi c'est arrivé ?"

"Il y a eu trois moments fort depuis la disparition tragique de Mari Luz et ces derniers mois qu'ont vécus Juan José Cortès et sa famille ont été spécialement éprouvants. Comme l'a rapporté lui-même le papa de Mari Luz c'étaient: "Le jour où ma fille est disparue; le jour où on m'a dit que je devais aller au quai (où on a retrouvé, flottant, le cadavre de la petite) et maintenant, quand on m'a informé que ce Monsieur Santiago del Valle aurait dû être en prison et non en liberté!"

It is three hard months since the disappearance of Mari Luz and these last months, which Juan José Cortès and his family have experienced have been especially difficult. As reported by Mari Luz's father himself, it was, "The day my daughter disappeared; the day when I was told that I had to go to the quay (where the body of the little girl was found floating) and now, when I have been told that this Mr Santiago del Valle should have been in prison and not at liberty."

"A qui dois-je demander comment tous ça est arrivé ? Ma fille devrait être vivante..." En réponse à la vice-présidente du Gouvernement, Maria Teresa fernandez de la Vega, qui demandait aux citoyens de maintenir leur confiance en la justice en dépit des nombreuses erreurs commis dans cette affaire, Juan José Cortès a déclaré: "si le système fonctionne, pourquoi ma fille est morte ?" Juan José Cortés est parfaitement conscient que le décès de son enfant est le produit de nombreuses irresponsabilités dans le chef de l'Administration de Justice et l'État. Toutefois, à la question s'il va engager un avocat et demander qu'ils l'indemnisent pour les dommages qu'ont causés ces erreurs à sa fille, à lui-même et à sa famille, il dit que " ce n'est pas le moment… Peut-être par la suite ".

"Who should I ask why all this happened? My daughter should be alive.." In response to the vice-president of the government, Maria Teresa Fernandez de la Vega, who called on citizens to maintain their confidence in the police in spite of the many errors committed in this case, Juan José Cortès stated: "If the system works, why is my daughter dead?" Juan José Cortès is well aware that the death of his child is the result of much non-accountability in the Head of the Administration of Justice and the State. However, on the question of whether he is going to hire a lawyer and ask if they will compensate him for the harm which these errors have caused to his daughter, to himself and to his family, he said, "This is not the time....Maybe in the future."

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Peine à perpétuité"

"Le seul réconfort pour Juan José Cortès, en ce moment, c'est d'obtenir que les assassins de sa fille payent pour ce qu'ils ont fait. "Que justice soit faite". Quand on lui demande qu'elle serait une sentence juste, il répond rapidement: "Qu'on me restitue ma fille, ce serait justice! Mais comme ce n'est pas possible, alors qu'ils ne sortent plus jamais de prison!" Le papa de Mari Luz est très clair, il veut qu'en Espagne on ré-ouvre le débat sur la peine à perpétuité. Il ne comprend pas ceux qui s'y oppose et déclare que: "si un homme enlève la vie à ma fille et me l'enlève pour toujours, il doit payer pour toujours. C'est une solution préventive et non une punition. Il y a des personnes qui ne peuvent pas rester vivre en société, parce que elle peuvent commettre à nouveau le même délit. Qui dit que dans si cet homme sort de prison dans 20 ans, il ne va pas commettre à nouveau le même crime ?"

Rappelons que Santiago del Valle a commis toute un série d'abus sur des enafnst, de Séville à Huelva en passant par Gijon, le tout en trompant à chaque fois la justice."

Whole life sentence.

The only comfort for Juan José Cortès at this moment, is to ensure that his daughter's murderers pay for what they have done. "That justice is done." When he is asked what would be a fair sentence, he responds quickly: "That my daughter is given back to me, that would be justice! But as that is not possible, then that they never come out of prison!"Mari Luz's father is very clear, he wants the debate on whole life sentence to be re-opened in Spain. He does not understand those who oppose it and states that: "If a man takes away the life of my daughter and he takes mine away for ever, he should pay for ever. This is a preventative solution and not a punishment. There are people who cannot live in society because they could commit the same crime again. Who is to say that if this man comes out of prison in 20 years, he is not going to commit the same crime again?

Remember that Santiago del Valle has committed a whole series of abuse against children, from Seville to Huelva, through Gijon, all while each time fooling the police.

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La police accusée d'avoir torturé le prévenu."

Santiago del Valle a certifié que la police l'avait torturé afin d'obtenir des aveux. Ce serait pour ces raisons qu'il s'est rétracté par la suite au point même de nier qu'il ait été en compagnie de Mari Luz dans l'après-midi du 13 janvier. Sa sœur Rosa del Valle a raconté au juge que l'après-midi des faits Santiago lui a demandé de l'amener à Carrefour pour faire des courses et c'est ce qu'elle a fait. Elle l'y a amené, son frère n'ayant pas de permis de conduire. Le centre commercial était fermé, selon sa version, et elle l'a amené un peu plus loin dans une autre zone commerciale qui était ouverte et l'y avait laissé. La Police a des informations qui contredisent ce témoignage et le juge les a considéré comme étant valables. La dernière personne qui a vu Mari Luz en vie, l'a vu autour des 16h40 arrêté devant la maison de Del Valle."

The police accused of having tortured the defendant.

Santiago del Valle testified that the police had tortured him to obtain his confessions. It was for these reasons that he later retracted even to the point of denying that he had been in the company of Mari Luz on the afternoon of January 13th. His sister, Rosa del Valle told the judge that on the afternoon in question Santiago had asked her to take him to Carrefour to run some errands and that is what she did. She took him there, her brother not having a driving licence. The retail centre was closed according to her version, and she took him a bit further to another retail zone which was open and left him there. The police has information which contradicts this witness statement and the judge has deemed it as being valid. The last person to see Mari Luz alive, saw her around 16.40, stopped in front of Del Valle's house.

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La reconstitution des faits indique que Rosa a conduit son frère, avec le cadavre de Mari Luz dans le coffre de sa voiture, jusqu'à la ria et là elle a attendu tandis qu'il jetait le corps à l'eau. Ils sont ensuite retournés ensemble dans la maison de Torrejón. Santiago avait juste eu le temps pour récupérer sa femme, Isabel García et quitter tous les deux précipitamment la ville. Rappelons que les trois étaient présent dans la maison quand Santiago a attiré l'enfant en lui promettant un jouet dans le but de l'agresser sexuellement!"

The reconstruction of events indicates that Rosa drove her brother with the body of Mari Luz in the boot of her car, as far as the estuary and she waited there while he threw the body into the water. They then returned together to the house in Torrejon. Santiago had just had the time to pick up his wife, Isabel Garcia and for the two of them to hastily leave the town. Remember that the three of them were in the house when Santiago brought the child in, promising a game, for the purpose of sexual abuse.

"De fait, vers 18h30, avant que la Police arrive sur les lieux, un groupe de proches parents de la famille Cortés avait déjà fait irruption dans le logement en force et avait emporté des documents et autres biens. À cette heure, le couple s'était déjà enfui. Après la déclaration de Rosa del Valle, la juge a signé un mandat d'arrêt pour meurtre, tel que le stipule le billet d'écrou à la prison. Bien que son degré de participation n'ait pas filtré, elle pourrait être considérée comme co-auteur du meurtre si elle a participé de façon active à la séquestration et/ou à l'enlèvement; ou comme complice de meurtre par son silence."

In fact, towards 18.30, before the police arrived on the scene, a group of relatives of the Cortés family had already burst into the house by force and had taken away documents and other property. At that time, the couple had already fled. After Rosa del Valle's statement, the judge signed an arrest warrent for murder, as stipulated in the detention order at the prison. Even though her degree of participation has not been leaked, she could be considered as co-perpetrator of the murder if she participated in an active way in the illegal confinement and/or the abduction; or as complicit in the murder by her silence.

"Santiago del Valle, après avoir tout nié et accusé la police de sévices, a demandé à être de nouveau entendu, peut-être sachant déjà quelle était la décision du juge en ce qui concerne sa soeur. Dans cette seconde déclaration il a baissé les bras et a admis à nouveau, devant les preuves dévoilées, les faits qu'il avait déjà reconnus et signés à Cuenca. Il a appelé l'enfant quand il l'a vue seule parce qu'elle lui plaisait, mais elle est tombé dans les escaliers et est morte de manière accidentelle : il est ensuite allé se débarrasser du cadavre en le jetant à la ria."

Santiago del Valle, after having denied everything and accused the police of abuse, asked to be heard again, perhaps knowing already what the judge's decision was concerning his sister. In this second statement, he gave up and again admitted, in view of the evidence revealed, the the facts that he had already accepted and signed in Cuenca. He called the child when he saw her alone because he liked her, but she fell down the stairs and died accidentally: he then went to get rid of the body by throwing it into the estuary.

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Malgré que les rapports légistes ne soient pas concluants sur la façon dont est mort l'enfant étant donné le mauvais état du cadavre de Mari Luz,la juge n'a pas eu de doutes et a considéré le détenu comme auteur d'un meurtre et d'agression sexuelle. Elle a décernée un mandant, comme dans le cas de sa soeur. Tous les deux ont été admis à la prison de Huelva. Dans la série des absurdités de cette affaire, la prison a reçu maintenant l'ordre d'admission de Santiago del Valle pour abus sur sa fille de cinq ans - soit deux ans et neuf mois de détention - qui aurait dû être accompli depuis mars 2006!!! Sa femme, Isabel García a été admise dans la section psychiatrique de la prison de Séville pour y accomplir 15 mois pour complicité dans le cadre des abus commis par son mari sur leur enfant. Elle devait aussi être internée il y a deux ans!!!"

Although the forensic reports are not conclusive about how the child died, given the bad state of the body of Mari Luz, the judge had no doubts and considered the person detained as perpetrator of a murder and sexual assault. She issued a warrant , as in the case of his sister. Both were remanded to the prison in Huelva. In the string of absurdities in this case, the prison has now received Santiago del Valle's admission order for the abuse of his five year-old daughter - two years and nine months detention - which should have been served from March 2006!!! His wife, Isabel Garcia has been admitted to the psychiatric section of Seville prison to serve 15 months for complicity in the context of the abuse committed by her husband on their child. She should also have been imprisoned two years ago.

http://www.kidnapping.be/mariluzcortes/index.html

Enfants Kidnappés 30/03/08











Fourniret trial: the third day begins


http://www.kidnapping.be/fourniret/index.html

"Fourniret présent sans contrainte à son procès mais refuse de parler!!"

"Michel Fourniret s'est rendu sans contrainte lundi matin à l'audience de la cour d'assises des Ardennes à Charleville-Mézières où il est jugé depuis jeudi pour sept meurtres, après y avoir été amené de force vendredi alors qu'il voulait boycotter son procès. Michel Fourniret, qui aura 66 ans vendredi, est jugé pour sept meurtres de jeunes femmes ou adolescentes, précédés de viols ou tentatives, des crimes qu'il a reconnus, commis en France et en Belgique entre 1987 et 2001."

Fourniret appears at his trial without coercion, but refuses to speak.

On Monday morning, Michel Fourniret went, without coercion, to the hearing at the Ardennes Court of Assizes in Charleville-Mézières, where, since Thursday, he is being tried for seven murders, after having been brought by force on Friday when he wanted to boycott his trial. Michel Fourniret, who will be 66 on Friday, is being tried for seven murders of young women or teenagers, preceded by rape or attempted rape, crimes which he has admitted, committed in France and Belgium between 1987 and 2001.

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Michel Fourniret a déclaré lundi au troisième jour du procès qu'il "confirmait (sa) position" de ne s'exprimer sur les faits reprochés qu'à condition d'un huis clos. "Ce week-end, la réflexion que j'ai menée m'a amené à confirmer ma position", a déclaré Michel Fourniret, qui était invité à s'exprimer sur le premier des dix dossiers pour lesquels il est jugé, celui de l'agression d'une adolescente belge de 13 ans en juin 2003 près de Namur (Belgique)."

On Monday, the third day of the trial, Michel Fourniret stated that he, "confirmed (his) position," only to speak on the allegations on condition that the proceedings were held in camera. "This weekend, the careful thinking which I went through, has led me to confirm my position," stated Michel Fourniret, who had been invited to speak on the first of ten cases for which he is being tried, that of the sexual assault of a 13 year-old Belgian teenager in June 2003 near Namur. (Belgium)

  • "Dans le cas d'un procès public, je ne parlerai que du bout des lèvres, il y a donc quantité d'informations que les familles seraient assurées de ne jamais avoir", a-t-il ajouté.
  • "Vous n'avez donc rien à dire sur ces faits du 26 juin 2003 ?", a de nouveau tenté le président de la cour, Gilles Latapie.
  • "Je brûle d'envie de les commenter mais je ne le peux pas", a rétorqué l'accusé qui comparaît au côté de sa femme Monique Olivier, poursuivie pour un des meurtres et pour complicité dans plusieurs autres."
  • "In the case of a public trial, I will only pay lip service. There is a wealth of information that the families can be assured of never having seen," he added.
  • "You have nothing to say, then, on the facts of 26th June 2003?" Gilles Latapie, president of the court, tried again.
  • "I am burning with a desire to comment, but I cannot do it," retorted the accused, who is appearing alongside his wife, who is being prosecuted for one of the murders and for complicity in several others.
"L'automobiliste qui a sauvé Marie, raconte..."

"Stéphanie Janton, l'automobiliste qui a pris en charge Marie enlevée le 26 juin 2003 à Ciney par Michel Fourniret, a retracé lundi matin devant la cour d'assises des Ardennes, cette journée qui a permis l'arrestation de Fourniret.
Marie, 13 ans, avait réussi à s'enfuir de la camionnette de Michel Fourniret où elle avait été entravée et s'est positionnée au milieu de la route. "A un carrefour, j'ai vu une jeune fille au milieu de la route qui faisait de grands signes", a dit Mme Janton qui, pensant à un accident, s'est arrêtée. "Elle m'a dit: 'Je viens d'être kidnappée à Ciney'", a-t-elle poursuivi, précisant que Marie était "apeurée, un peu perdue" et présentait des écorchures au poignet. L'automobiliste et Marie croiseront le véhicule de Fourniret qui avait fait demi-tour après la fuite de Marie. Le relevé du numéro de plaque permettra son interpellation."

The motorist who saved Marie, recounts....

Stéphanie Janton, the motorist who took charge of Marie, who was abducted in Ciney on June 26th 2003 by Michel Fourniret, retraced the journey, which led to Fourniret's arrest before the Ardennes Court of Assizes on Monday.
13 year-old Marie had managed to flee from Michel Fourniret's van where she had been tied up and placed herself in the middle of the road. "At a crossroads, I saw a young girl in the middle of the road, making huge signals," said Mme Janton who stopped, thinking there had been an accident. "She told me:'I have just been kidnapped in Ciney," she continued, noting that Marie was, "frightened, a little lost," and showed abrasions to the wrist. The motorist and Marie cross Fourniret's vehicle, which had done a U-turn after Marie's escape. Recording the registration number will allow his questioning.

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Nouvelle victime: Une infirmière* !" Dans son document remis jeudi au président de la cour d'assises des Ardennes, Michel Fourniret avouait "une tentative d'homicide sur la personne d'un professionnel de la santé", évoquant ainsi l'enlèvement avorté d'une infirmière en 1994, sur le parking de l'hôpital de l'AZ-VUB à Jette, rapporte lundi le quotidien Le Soir. Michel Fourniret précise ne jamais avoir été entendu sur cette tentative d'homicide. Cette affaire mise à l'instruction à Dinant du chef de "tentative d'enlèvement", n'avait à ce jour, jamais débouché sur une inculpation, malgré des aveux de Monique Olivier. L'aveu écrit de Fourniret ravive ce dossier, commente Le Soir. "Le juge d'instruction Hanin sera avisé dès ce lundi des propos de M. Fourniret, dont nous n'avons pas encore reçu la signification officielle de la part des autorités judiciaires françaises", a précisé le premier substitut Philippe Morandini, en charge du dossier. "Il est évident que si M. Fourniret apporte des éléments nouveaux à un dossier jusqu'ici qualifié de tentative d'enlèvement, et non d'assassinat, il devra être interrogé sur ses affirmations et encourir, s'il échet, une inculpation dont il devra répondre devant les institutions belges", poursuit Philippe Morandini."

New victim: A nurse!

On Monday the daily newspaper, Le Soir, reports that in his document, handed to the president of the Ardennes Court of Assizes on Thursday, Michel Fourniret confessed to, "an attempted murder of a health professional," confessing also to the aborted abduction of a nurse in 1994, in the parking area of the AZ-VUB hospital in Jette.

Michel Fourniret notes never having heard of this attempted murder. This case, as told to the head of ,"attempted abduction," in Dinant, has not, to this day, resulted in an indictment, in spite of Monique Olivier's confession. Fourniret's written confession revives this case, comments Le Soir. "The investigating judge, Hanin, will be advised on Monday of M. Fourniret's words, of which we have not yet received official notification from the French legal authorities." said Philippe Morandini, acting head in charge of the case. "Obviously, if M. Fourniret brings new information to a case, so far qualified as an attempted abduction, and not murder, he would be questioned about his claims, and if relevant, would incur a charge which he would answer to before the Belgian authorities." continued Philippe Morandini.

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Les lettres remises au juge."

"Si cela vous intéresse, vous pouvez télécharger les lettres que Fourniret à remis au Juge au premier jour de son procès en cliquant sur le lien ci-dessous:"

The letters handed to the judge.

If this interests you, you can download the letters which Fourniret handed to the judge on the first day of his trial by clicking on the link below.


Lettres de Fourniret - A télécharger ici

"Les victimes de Fourniret"

  • Isabelle Laville, 17 ans, disparue le 11 décembre 1987 à son retour de l'école à Auxerre. A l'époque Fourniret vient de s'installer avec Monique Olivier à Saint-Cyr-les-Colons (Yonne). Des restes du corps et des effets personnels sont retrouvés au fond d'un puits à Bussy-en-Othe (Yonne) en juillet 2006.
Isabelle Laville, aged 17, disappeared on December 11th 1987 on her way home from school. At that time, Fourniret had just moved in with Monique Olivier in Saint-Cyr-les-Colons (Yonne). The remains of her body and her personal effects were found at the bottom of a well in Bussy-en-Othe (Yonne) in July 2006.
  • Fabienne Leroy, 20 ans, disparue le 3 août 1988 dans la Marne. Son corps ensanglanté est découvert le lendemain à proximité du camp militaire de Mourmelon-le-Grand. Après le viol, elle a été tuée d'une balle tirée à bout portant en pleine poitrine.
Fabienne Leroy, aged 20, disappeared on August 3rd 1988 in La Marne. Her blood-covered body was discovered the next day near the Mourmelon-le-Grand military camp. After the rape, she had been killed by a bullet in the chest, fired at close range.
  • Jeanne-Marie Desramault, 21 ans, disparue le 18 mars 1989 à la gare de Charleville-Mézières. Son corps est retrouvé le 3 juillet 2004 au château du Sautou à Donchéry (Ardennes), ex-propriété des époux Fourniret. Monique Olivier est poursuivie comme coauteur du meurtre qui a été précédé d'une tentative de viol.
Jeanne-Marie Desramault, aged 21, disappeared on March 18th 1989 at the station in Charleville-Mézières. Her body was found on July 3rd 2004 at the Chateau du Satou in Donchéry (Ardennes), a former property of the Fourniret couple. Monique Olivier is charged with being co-perpetrator of the murder which was preceded by attempted rape.
  • Elisabeth Brichet, adolescente belge de 12 ans, enlevée le 20 décembre 1989 près de Namur. Son corps est retrouvé au château du Sautou le 3 juillet 2004, là encore sur les indications de Michel Fourniret après les dénonciations de son épouse.
Elisabeth Brichet, Belgian teenager aged 12, abducted on December 20th 1989 near Namur. Her body was found at the Chateau du Satou on July 3rd 2004, again on Michel Fourniret's instructions after the denounciations by his wife.
  • Natacha Danais, 13 ans, enlevée sur un parking d'hypermarché à Rezé (Loire-Atlantique) le 21 novembre 1990. Le corps est retrouvé trois jours plus tard sur une plage de Vendée.
Natacha Danais, aged 13, abducted from a hypermarket car park in Rezé (Loire-Atlantique) on November 21st 1990. Her body was found three days later on a Vendée beach.
  • Céline Saison, 18 ans, disparue le 16 mai 2000 après une épreuve de baccalauréat blanc à Charleville-Mézières. Son corps est retrouvé le 22 juillet 2000 dans un bois de Sugny en Belgique.
Céline Saison, aged 18, disappeared on May 16th 2000 after a baccalauréat exam in Charleville-Mézières. Her body was found on July 22nd 2000 in a Sugny wood in Belgium.
  • Mananya Thumpong, 13 ans, enlevée le 5 mai 2001 à sa sortie de la médiathèque de Sedan (Ardennes). Le corps est retrouvé le 1er mars 2002 à Nollevaux (Belgique). Comme pour l'assassinat de Céline Saison, aucune complicité n'est reprochée à Monique Olivier.
Mananya Thumpong, aged 13, abducted on May 5th 2001 as she came out of the library in Sedan (Ardennes). Her body was found on March 1st 2002 in Nollevaux (Belgium). Like the murder of Céline Saison, Monique Olivier is not charged with any complicity.

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LES AUTRES DOSSIERS JUGES"

The other cases being tried.


  • Joëlle Parfondry, victime d'une tentative de viol et d'un vol avec arme dans son salon de toilettage pour chiens près de Namur le 19 janvier 1995.
Joëlle Parfondry, victim of attempted rape and armed robbery in her dog grooming salon near Namur on January 19th 1995.
  • Sandra, 14 ans, victime d'une tentative d'enlèvement à la gare de Gedinne (Belgique) le 12 février 2000.
Sandra, aged 14, victim of attempted abduction at the station in Gedinne (Belgium) on February 12th 2000.
  • Marie, 13 ans, enlevée le 26 juin 2003 à Ciney (Belgique). Après avoir été violentée, l'adolescente parvient à s'échapper, conduisant à l'arrestation de Fourniret."
Marie, aged 13, abducted on June 26th 2003 at Ciney (Belgium). After having been assaulted, the teenager managed to escape, leading to Fourniret's arrest.

LES ENQUETES ENCORE EN COURS

The Ongoing enquiries.

  • En Belgique, Michel Fourniret est inculpé pour le meurtre d'une jeune fille au pair disparue en 1992. Monique Olivier l'a accusé de ce meurtre qu'il nie.
In Belgium, Michel Fourniret is accused of the murder of a young au pair girl, who disappeared in 1992. Monique Olivier accuses him of this murder, which he denies.
  • En France, Michel Fourniret a avoué le meurtre en 1988 de Farida Hamiche, compagne d'un ancien codétenu, pour lui voler son or, issu du butin du célèbre "gang des postiches".
In France, Michel Fourniret has confessed to the 1988 murder of Farida Hamiche, partner of a former cell-mate, in order to rob her of the spoils of the famous , "gang des postiches."

  • A Charleville-Mézières il est mis en examen le 11 mars pour deux assassinats perpétrés près d'Auxerre : ceux de Marie-Angèle Domèce, une handicapée de 19 ans disparue le 8 juillet 1988 et dont le corps n'a jamais été retrouvé, et de Joanna Parrish, une assistante d'anglais de 20 ans retrouvée violée et étranglée le 17 mai 1990.Ces crimes, que Fourniret nie, sont les derniers de la liste dressée par Monique Olivier lorsqu'elle dénonce son mari en plusieurs étapes entre juin 2004 et juin 2005."
In Charleville-Mézières he was placed under investigation on March 11th for two murders carried out near Auxerre: that of Marie-Angèle Domèce, a young disabled woman, aged 19, who disappeared on July 8th 1988 and whose body has never been found, and of Joanna Parrish, an English assistant, aged 20, found raped and strangled on May 17th 1990. These crimes, which Fourniret denies, are the last of the list drawn up in several stages by Monique Olivier when she denounced her husband between June 2004 and June 2005.

http://www.kidnapping.be/fourniret/index.html

Enfants Kidnappés March 31st.