Entre 7 et 10 septembre de l'année dernière, Kate McCann luttait pour sa vie, selon The News Of The World parce que les autorités portugaises essayaient de l'incriminer. "Ils veulent que je mens- je suis incriminé", dit Kate McCann au Sunday Mirror. La raison, explique Kate, était le fait que la Police Judiciaire "manquait de budget pour poursuivre les investigations et voudrais y mettre un terme". Une autre raison, dit’ elle, était que la police portugaise "ne veut pas d’un meurtre au Portugal ni de la publicité à propos du fait qu’ils n’ont pas de lois contre la pédophile ici, ainsi ils nous accusent."
Between September 7th and 10th last year, Kate McCann was struggling for her life, according to the News Of The World, because the Portuguese authorities were trying to incriminate her. “They want me to lie – I am incriminated,” Kate McCann told the Sunday Mirror. The reason, explains Kate, was the fact that the PJ, “lacked the budget to continue with the investigation and wanted to bring it to a close.” Another reason, she says, was that the Portuguese police, “do not want a murder in Portugal nor publicity about the fact that they have no laws against paedophilia here, so they accuse us.”
Au même temps, Gerry McCann a admis qu'il avait déjà été informé par ses avocats de que la PJ "a pu rassembler assez d’éléments pour les accuser." Malgré qu’il était "absolument confiant de qu’il n’y avait preuve que puisse lier Kate et lui a tout soupçon du meurtre" de leur fille, Gerry a admis que la "dernière tournure des événements", pendant les premières semaines de septembre, "l'avait provoquait quelques 'inquiétudes". Selon l'édition du 9 septembre du The News Of The World, "les McCann craignent maintenant que les enquêteurs puissent être sur le point de les arrêter et accuser. Gerry a dit : "Notre avocat a dit que le poids est tell que, sous le système légal portugais, ils ont assez pour avancer contre nous."
At the same time, Gerry McCann admitted that he had already been informed by their lawyers that the PJ, “could have gathered enough evidence to charge them.” In spite of his being, “absolutely confident that there was no proof that could link Kate and himself to any suspicion of murder,” of the daughter. Gerry admitted that the, “last turn of events,” during the weeks of September, “had given him some anxiety.” According to the September 9th edition of The News Of The World, “the McCanns now believe that the investigators could be at the point of arresting and charging them.” Gerry said: “Our lawyer said the balance is such that, under the Portuguese legal system, they have enough to proceed against us.”
Le père de Madeleine McCann a considéré également la possibilité de que "tôt ou tard, il y aura un processus formel dans lequel nous pourrons réfuter les choses devant le tribunal. Alors il sortira tout". Gerry a expliqué que les McCann "étaient en pourparlers avec la police" de manière "à être autorisés à rentrer à leur maison au Royaume-Uni," après avoir été constitués "arguidos", ou suspects formels dans la disparition de Madeleine McCann.
Madeleine McCann’s father also considered the possibility that, “sooner or later, there will be a formal trial in which we will be able to refute everything before the court. Then it’ll all come out.” Gerry explained that the McCanns, “were in talks with the police, “ so as, “to be allowed to return to their home in the United Kingdom,” after having been made, “arguidos,”, or formal suspects in Madeleine McCann’s disappearance.
Pendant que ces négociations continuaient, "le Foreign Office était en feu sur tous fronts" dans ses efforts pour aider les McCann", comme The Telegraph l’écrit le 10 septembre.
Et l'accord autorisant le retour de Gerry et Kate au Royaume-Uni a été conclu par des contacts directs entre le Foreign Office, les ministres des affaires étrangers, de la Justice et la PJ, avec l'aide de John Buck, à l’époque l’ambassadeur britannique au Portugal.
While these negotiations continued, “the Foreign Office was firing on all cylinders,” in their efforts to help the mcCanns.” As the Telegraph wrote on September 10th.
And the agreement authorising Gerry and Kate’s return to the United Kingdom was concluded by direct contact between the Foreign Office, the ministers for foreign affairs, the prosecutor and the PJ, with the help of John Buck, at that time British ambassador to Portugal.
Justine McGuiness et David Hughes, membres de l'équipe de conseillers des McCann, ont également joué un rôle important dans ces contacts.
Une source de PJ a expliqué que si le couple avait essayé de quitter le Portugal avant les interrogatoires qui ont eu lieu entre 7 et 8 de septembre, le cabinet du Procureur avait instruit les inspecteurs de PJ de les arrêter et était prêt à les constituer "arguidos" imposant des restrictions plus sévères à leurs mouvements. Les autorités portugaises ont accepté un accord verbal, après que le Foreign Office a garanti que le couple reviendrait au Portugal, toutes les fois que le cabinet du Procureur demanderait leur présence.
Justime McGuiness and David Hughes, member of the McCanns’ team of advisors, also played an important role in these contacts.
A PJ source explained that if the couple had tried to leave Portugal before the interrogations, which took place between September 7th and 8th, the Prosecutor’s office had instructed the PJ inspectors to arrest them and be ready to constitute them, “arguidos,” imposing more strict restrictions on their movements. The Portuguese authorities accepted a verbal agreement, after which the Foreign Office guaranteed that the couple would go back to Portugal, any time the Prosecutor’s office requested their presence.
Le changement soudain d’attitude des McCann, prétendent rentrer à nouveau au Royaume-Uni, après qu’ils ont promis qu'ils ne partiraient jamais sans Madeleine, s’est produit deux mois après qu’une équipe spéciale de la police britannique soit venu à Praia da Luz, avec Eddie et Keela, les chiens dressés pour détecter l'odeur du sang et des cadavres.
Mais, un mois avant qu’ils soient constitués "arguidos", le porte-parole de la PJ, Olegário de Sousa, avait déjà indiqué, dans une entrevue a la BBC, le 10 août, que la police suivait une nouvelle ligne d'enquête qu’inclus la possibilité de que Madeleine était morte.
The sudden change in the McCanns’ attitude, intending to return to the United Kingdom, after having promised that they would never leave without Madeleine, happened two months after a special British police team went to Praia da Luz, with Eddie and Keela, the dogs trained to detect the odours of blood and corpses.
But, one month before they were constituted, “arguidos,” the PJ’s spokeman, Olegário de Sousa, had already indicated, in an interview with the BBC, on August 10th, that the police were following a new line of enquiry, which included the possibility that Madeleine was dead.
Duarte Levy & Paulo Reis.
SOS Madeleine McCann 8/06/08