"A qui dois-je demander pourquoi c'est arrivé ?"
"Il y a eu trois moments fort depuis la disparition tragique de Mari Luz et ces derniers mois qu'ont vécus Juan José Cortès et sa famille ont été spécialement éprouvants. Comme l'a rapporté lui-même le papa de Mari Luz c'étaient: "Le jour où ma fille est disparue; le jour où on m'a dit que je devais aller au quai (où on a retrouvé, flottant, le cadavre de la petite) et maintenant, quand on m'a informé que ce Monsieur Santiago del Valle aurait dû être en prison et non en liberté!"It is three hard months since the disappearance of Mari Luz and these last months, which Juan José Cortès and his family have experienced have been especially difficult. As reported by Mari Luz's father himself, it was, "The day my daughter disappeared; the day when I was told that I had to go to the quay (where the body of the little girl was found floating) and now, when I have been told that this Mr Santiago del Valle should have been in prison and not at liberty."
"A qui dois-je demander comment tous ça est arrivé ? Ma fille devrait être vivante..." En réponse à la vice-présidente du Gouvernement, Maria Teresa fernandez de la Vega, qui demandait aux citoyens de maintenir leur confiance en la justice en dépit des nombreuses erreurs commis dans cette affaire, Juan José Cortès a déclaré: "si le système fonctionne, pourquoi ma fille est morte ?" Juan José Cortés est parfaitement conscient que le décès de son enfant est le produit de nombreuses irresponsabilités dans le chef de l'Administration de Justice et l'État. Toutefois, à la question s'il va engager un avocat et demander qu'ils l'indemnisent pour les dommages qu'ont causés ces erreurs à sa fille, à lui-même et à sa famille, il dit que " ce n'est pas le moment… Peut-être par la suite ".
"Who should I ask why all this happened? My daughter should be alive.." In response to the vice-president of the government, Maria Teresa Fernandez de la Vega, who called on citizens to maintain their confidence in the police in spite of the many errors committed in this case, Juan José Cortès stated: "If the system works, why is my daughter dead?" Juan José Cortès is well aware that the death of his child is the result of much non-accountability in the Head of the Administration of Justice and the State. However, on the question of whether he is going to hire a lawyer and ask if they will compensate him for the harm which these errors have caused to his daughter, to himself and to his family, he said, "This is not the time....Maybe in the future."
"Peine à perpétuité"
"Le seul réconfort pour Juan José Cortès, en ce moment, c'est d'obtenir que les assassins de sa fille payent pour ce qu'ils ont fait. "Que justice soit faite". Quand on lui demande qu'elle serait une sentence juste, il répond rapidement: "Qu'on me restitue ma fille, ce serait justice! Mais comme ce n'est pas possible, alors qu'ils ne sortent plus jamais de prison!" Le papa de Mari Luz est très clair, il veut qu'en Espagne on ré-ouvre le débat sur la peine à perpétuité. Il ne comprend pas ceux qui s'y oppose et déclare que: "si un homme enlève la vie à ma fille et me l'enlève pour toujours, il doit payer pour toujours. C'est une solution préventive et non une punition. Il y a des personnes qui ne peuvent pas rester vivre en société, parce que elle peuvent commettre à nouveau le même délit. Qui dit que dans si cet homme sort de prison dans 20 ans, il ne va pas commettre à nouveau le même crime ?"
Rappelons que Santiago del Valle a commis toute un série d'abus sur des enafnst, de Séville à Huelva en passant par Gijon, le tout en trompant à chaque fois la justice."
Whole life sentence.
The only comfort for Juan José Cortès at this moment, is to ensure that his daughter's murderers pay for what they have done. "That justice is done." When he is asked what would be a fair sentence, he responds quickly: "That my daughter is given back to me, that would be justice! But as that is not possible, then that they never come out of prison!"Mari Luz's father is very clear, he wants the debate on whole life sentence to be re-opened in Spain. He does not understand those who oppose it and states that: "If a man takes away the life of my daughter and he takes mine away for ever, he should pay for ever. This is a preventative solution and not a punishment. There are people who cannot live in society because they could commit the same crime again. Who is to say that if this man comes out of prison in 20 years, he is not going to commit the same crime again?
Remember that Santiago del Valle has committed a whole series of abuse against children, from Seville to Huelva, through Gijon, all while each time fooling the police.
"La police accusée d'avoir torturé le prévenu."
Santiago del Valle a certifié que la police l'avait torturé afin d'obtenir des aveux. Ce serait pour ces raisons qu'il s'est rétracté par la suite au point même de nier qu'il ait été en compagnie de Mari Luz dans l'après-midi du 13 janvier. Sa sœur Rosa del Valle a raconté au juge que l'après-midi des faits Santiago lui a demandé de l'amener à Carrefour pour faire des courses et c'est ce qu'elle a fait. Elle l'y a amené, son frère n'ayant pas de permis de conduire. Le centre commercial était fermé, selon sa version, et elle l'a amené un peu plus loin dans une autre zone commerciale qui était ouverte et l'y avait laissé. La Police a des informations qui contredisent ce témoignage et le juge les a considéré comme étant valables. La dernière personne qui a vu Mari Luz en vie, l'a vu autour des 16h40 arrêté devant la maison de Del Valle."
The police accused of having tortured the defendant.
Santiago del Valle testified that the police had tortured him to obtain his confessions. It was for these reasons that he later retracted even to the point of denying that he had been in the company of Mari Luz on the afternoon of January 13th. His sister, Rosa del Valle told the judge that on the afternoon in question Santiago had asked her to take him to Carrefour to run some errands and that is what she did. She took him there, her brother not having a driving licence. The retail centre was closed according to her version, and she took him a bit further to another retail zone which was open and left him there. The police has information which contradicts this witness statement and the judge has deemed it as being valid. The last person to see Mari Luz alive, saw her around 16.40, stopped in front of Del Valle's house.
"La reconstitution des faits indique que Rosa a conduit son frère, avec le cadavre de Mari Luz dans le coffre de sa voiture, jusqu'à la ria et là elle a attendu tandis qu'il jetait le corps à l'eau. Ils sont ensuite retournés ensemble dans la maison de Torrejón. Santiago avait juste eu le temps pour récupérer sa femme, Isabel García et quitter tous les deux précipitamment la ville. Rappelons que les trois étaient présent dans la maison quand Santiago a attiré l'enfant en lui promettant un jouet dans le but de l'agresser sexuellement!"
The reconstruction of events indicates that Rosa drove her brother with the body of Mari Luz in the boot of her car, as far as the estuary and she waited there while he threw the body into the water. They then returned together to the house in Torrejon. Santiago had just had the time to pick up his wife, Isabel Garcia and for the two of them to hastily leave the town. Remember that the three of them were in the house when Santiago brought the child in, promising a game, for the purpose of sexual abuse.
"De fait, vers 18h30, avant que la Police arrive sur les lieux, un groupe de proches parents de la famille Cortés avait déjà fait irruption dans le logement en force et avait emporté des documents et autres biens. À cette heure, le couple s'était déjà enfui. Après la déclaration de Rosa del Valle, la juge a signé un mandat d'arrêt pour meurtre, tel que le stipule le billet d'écrou à la prison. Bien que son degré de participation n'ait pas filtré, elle pourrait être considérée comme co-auteur du meurtre si elle a participé de façon active à la séquestration et/ou à l'enlèvement; ou comme complice de meurtre par son silence."
In fact, towards 18.30, before the police arrived on the scene, a group of relatives of the Cortés family had already burst into the house by force and had taken away documents and other property. At that time, the couple had already fled. After Rosa del Valle's statement, the judge signed an arrest warrent for murder, as stipulated in the detention order at the prison. Even though her degree of participation has not been leaked, she could be considered as co-perpetrator of the murder if she participated in an active way in the illegal confinement and/or the abduction; or as complicit in the murder by her silence.
"Santiago del Valle, après avoir tout nié et accusé la police de sévices, a demandé à être de nouveau entendu, peut-être sachant déjà quelle était la décision du juge en ce qui concerne sa soeur. Dans cette seconde déclaration il a baissé les bras et a admis à nouveau, devant les preuves dévoilées, les faits qu'il avait déjà reconnus et signés à Cuenca. Il a appelé l'enfant quand il l'a vue seule parce qu'elle lui plaisait, mais elle est tombé dans les escaliers et est morte de manière accidentelle : il est ensuite allé se débarrasser du cadavre en le jetant à la ria."
Santiago del Valle, after having denied everything and accused the police of abuse, asked to be heard again, perhaps knowing already what the judge's decision was concerning his sister. In this second statement, he gave up and again admitted, in view of the evidence revealed, the the facts that he had already accepted and signed in Cuenca. He called the child when he saw her alone because he liked her, but she fell down the stairs and died accidentally: he then went to get rid of the body by throwing it into the estuary.
"Malgré que les rapports légistes ne soient pas concluants sur la façon dont est mort l'enfant étant donné le mauvais état du cadavre de Mari Luz,la juge n'a pas eu de doutes et a considéré le détenu comme auteur d'un meurtre et d'agression sexuelle. Elle a décernée un mandant, comme dans le cas de sa soeur. Tous les deux ont été admis à la prison de Huelva. Dans la série des absurdités de cette affaire, la prison a reçu maintenant l'ordre d'admission de Santiago del Valle pour abus sur sa fille de cinq ans - soit deux ans et neuf mois de détention - qui aurait dû être accompli depuis mars 2006!!! Sa femme, Isabel García a été admise dans la section psychiatrique de la prison de Séville pour y accomplir 15 mois pour complicité dans le cadre des abus commis par son mari sur leur enfant. Elle devait aussi être internée il y a deux ans!!!"
Although the forensic reports are not conclusive about how the child died, given the bad state of the body of Mari Luz, the judge had no doubts and considered the person detained as perpetrator of a murder and sexual assault. She issued a warrant , as in the case of his sister. Both were remanded to the prison in Huelva. In the string of absurdities in this case, the prison has now received Santiago del Valle's admission order for the abuse of his five year-old daughter - two years and nine months detention - which should have been served from March 2006!!! His wife, Isabel Garcia has been admitted to the psychiatric section of Seville prison to serve 15 months for complicity in the context of the abuse committed by her husband on their child. She should also have been imprisoned two years ago.
http://www.kidnapping.be/mariluzcortes/index.html
Enfants Kidnappés 30/03/08
1 comment:
We must rethink this life sentence charade, at least when people commit crimes against children.
Some prisoners don't even do the 20 years.
According to the Lisbon Treaty, which takes effect July 2009, if a million signatures are collected, the law will be changed through the Euro Parliament and then all the EU governments will have to implement it.
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