SOS Madeleine McCann 13/07/08
Les enquêteurs portugais de la Police Judiciaire (PJ) ne sont pas arrivés à Robert Murat par hasard, ils y ont été conduits par une “machine” britannique bien huilée, où l’homme a été pointé du doigt par ses compatriotes avec un objectif que les inspecteurs ont tout de même fini par déjouer : il était l’appât vers qui la police et les médias étaient censés de regarder pendant que l’action, la vraie, était ailleurs.
The Portuguese investigators of the PJ did not happen upon Robert Murat by accident. They were led there by a well-oiled British, "machine," where the finger was pointed at the man by his compatriots with an objective which, the inspectors still ended up thwarting: he was the bait, in whose direction the police and the media were supposed to be looking while the real action was elsewhere.
Il est aujourd’hui certain que Robert Murat a plus de victime que de coupable, c’est du moins la conclusion à que la PJ est parvenue après les premiers interrogatoires au Britannique, pourtant avare en explications à propos de certains faits qui n’ont pas cessé d’intriguer les inspecteurs chargés des investigations.
It is now certain that Robert Murat is more victim than guilty party. That, at least is the conclusion arrived at by the PJ after the first interrogations of the British man, however lacking in explanations about certain facts which have not ceased to intrigue the inspectors in charge of the investigations.
Après 14 mois le Britannique garde encore le souvenir du jour où il a été amené par les inspecteurs vers les installations de la PJ a Portimão, où il a été interrogé pendant de longues heures en présence des agents de liaison de la police britannique, sans pourtant recevoir la moindre aide de son consul, Bill Henderson, ou des services du consulat, occupés avec Kate et Gerry McCann, les parents Madeleine, la petite fille de trois ans que les médias britanniques, en particulier le The Mirror, diront ressembler à sa propre fille. Même son ambassadeur, John Buck, très présent à Algarve pendant les jours qui ont suivi la disparition de Madeleine, ira l’ignorer pendant toute la durée de l’enquête, du moins en ce que concerne une éventuelle aide, que sa mère sera forcée de rechercher au pays natal et auprès d’un avocat portugais, maitre Francisco Pagarete.
A suivre...
After 14 months the British man retains the memory of the day he was taken by the inspectors to the PJ's offices in Portimao, where he was interrogated for many hours in the presence of liaison officers from the British police, without, however, receiving the least help from his consul, Bill Henderson, or the services of the consulate, who were busy with Kate and Gerry McCann, parents of Madeleine, the little three year-old girl whom the British media, in particular The Mirror, would say resembled his own daughter. Even his ambassador, John Buck, a strong presence in the Algarve in the days following Madeleine's disappearance, was going to ignore him for the duration of the investigation, at least concerning any possible help, which his mother would be forced to look for in her home country and from a Portuguese lawyer, Me Francisco Pagarete.
To be continued.